Questions fréquentes
Un implant dentaire est comme une petite vis, c’est une racine artificielle, il est en titane et biocompatible. Il sert à remplacer la racine d’une dent abîmée ou manquante et permet de servir de point d’ancrage à une future prothèse dentaire ou couronne céramique. Que ce soit pour une ou plusieurs dents manquantes, le Docteur Michel Abi Harb et son équipe vous proposeront la solution la mieux adaptée à votre cas, pour un résultat optimal. Pour cela le cabinet dentaire dispose, entre autre, d’un scanner dentaire 3D de Type Cône Beam. Cet appareil permet de savoir avec précision quel type et combien d’implants dentaires seront nécessaires au plan de traitement prothétique.
La pose d’un implant dentaire n’est pas douloureuse. Pour comparaison, la pose d’un implant dentaire fait moins mal que l’extraction d’une dent de sagesse.
Les implants dentaires sont conçus pour durer 10 à 15 ans. Une hygiène dentaire adaptée et une prophylaxie sont essentielles à la pérennité du traitement implantaire et prothétique.
En moyenne, après la chirurgie et la pose d’un ou plusieurs implants dentaires, il faut attendre entre 3 et 4 mois (phase de cicatrisation osseuse), avant d’envisager la prothèse dentaire définitive.
Il est difficile de donner un prix, chaque patient demande une étude personnalisée pour établir avec précision un prix et un plan de traitement. Ce type de traitement n’est pas remboursé par la sécurité sociale, ceci étant certaines complémentaires de santé peuvent prendre en charge une partie de l’acte.
Il n’y pas d’âge limite pour avoir des implants dentaires. Un examen pré-implantaire est nécessaire. Un scanner dentaire peut être envisagé pour vérifier plusieurs éléments (volume osseux, infections, fracture d’une racine …). En moyenne, le nombre d’implants dentaires varie en fonction du nombre de dents à remplacer. Un bilan buccal et un examen clinique sont à prévoir avant d’envisager la pose d’implants dentaires.
Seul un scanner dentaire 3D permet avec précision de déterminer s’il y a assez d’os ou non. Dans l’éventualité où il n’y aurait pas assez d’os, il existe des solutions alternatives.
Des protocoles rigoureux, avérés et maîtrisés vous garantissent un travail dans les règles de l’art, aux environs de 96% de réussite. Dans le cas contraire, cela ne fait que retarder le plan de traitement initial.